Ladies and gentlemen, would you please welcome the Pode’ site:

                                  Je me permet de vous communiquer cette suite d’articles incendiaires, qui vous pourrez en juger, sont d’une importance capitale dans le développement de notre société. Les intervenants de ces échanges nous sont encore aujourd’hui inconnus. Si l’un d’entre-vous est à même de nous communiquer un quelconque renseignement susceptible d’éclaircir la turbidité de tels personnages qu’il le fasse au lieu de garder ça pour lui comme un pingre.

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                                  Attention, ça commence :

Je verse dans une profonde aversion pour l’averse

Si typique en ces lieux, loin de tergiverser, quelque soit

La version qu’on me donne de la pluie

Moi je préfère l’inverse, dans un sens

J’affectionne l’ivresse du soleil

La chaleur qu’il déverse me renverse

Alors que la pluie de froid me transperce

Au pire, de chaleur je transpire

Au mieux, l’humidité m’inspire

Une exaltation exaspérante

Une transparence indifférente

Enfin une sorte de récurrence résurgente

J’attends qu’expire son exercice

Qui pèse sur ma personne

On dit pourtant que l’air frais vivifie

Que la chaleur est pesante

Voir tournante.

Aussi le doute m’envahi

Tel le barbare les terres civilisées

Le berbère la tente

Et me voilà désappointé

Perdu

Tout ça à cause d’adages

Ringards

Auxquels je n’ai rien demandé

De surcroît

Je sais tout de même mieux que les on dit

Ce que j’aime et ce que je n’aime pas

Et ce n’est pas un on dit

Qui n’ose même pas venir le dire en face

Qui va m’apprendre les choses de la vie

Il faut mettre fin à ces ondits

Qui viennent polluer nos vers

C’est le vers du vers

Le poil dans la pomme

La tarte qui fait déborder la vase

La blague qu’on entend trop

Et d’autres encore

Aussi, mes chers frères, mes chères sœurs,

Je vous enjoint à rallier ma cause

Afin qu’elle ne se perde

Et à ne point vous laisser conter

La manière de dire par on ne sait qui

Boycottez le on !

Ne soyez pas on !

Pas plus que vous ne l’êtes

Et si d’aventures vous l’apercevez

N’ayez aucun sentiment à son égard

Lynchez le sans plus tarder

Qu’on le pende haut et court !

Signé : Le Duc Ecquetucoz

 

 

 

                                                Réponse du On