Trop!
Trop de mensonges, de calomnies, de non-dit.
Une seule chose semble claire aujourd'hui:
Il importe bien plus de faire taire Gaël que de faire la lumière sur l'attentat de Quévert.

Ceux qui connaissent vraiment Gaël savent qu'il ne placera jamais ses idéaux au-dessus de la vie humaine. Ils savent aussi son engagement au coté de ceux qui luttent contre la misère, l'injustice sociale et le mercantilisme triomphant.
Ils savent surtout que Gaël dérange.

Mais qui dérange-t-il ?
Ceux à qui profite vraiment la mort injustifiable de Laurence Turbec.
Ceux qui n'attendaient que ce prétexte (n'ont-ils d'ailleurs fait que l'attendre ?) pour bâillonner une voix bretonne peu en accord avec le folklore abêtissant de leurs dernières vacances.

Le président d'un mouvement souverainiste ayant érigé la république hexagonale au rang de dogme ayatollesque s'est servi de l'appareil répressif mis à sa disposition pour déchainer sa haine et calomnier notre ami.
ARB=EMGANN ! a aboyé Mister Bean.
Non, Monsieur l'ex-sinistre de l'intérieur, Gaël n'est pas le terroriste que vous voudriez accréditer.
Quand il s'agit de faire passer la raison d'état avant la vie comme à Auckland, personne n'est aussi obéissant que vos sbires.

Le nationalisme de Gaël n'a rien à voir avec le repli obtus que certains bretons pressés de justifier toutes leurs compromissions dépeignent.
Si le nationalisme d'une culture dominante est un impérialisme, celui d'une culture muselée est une résistance légitime.
Les deux démarches n'ont en commun que le nom.
Pour autant, cela n'autorise pas les raccourcis délirants dans lesquels se vautrent les opportunistes qui crachent sur un flambeau auquel ils se sont chauffés pendant tant d'années.

Dire la vérité.Voilà la raison d'être de ce site.